LES COCHENILLES FARINEUSES selon Larry

Repiqueur a écrit: Je peux écarter chaque pot à une distance sécuritaire, les arroser un par un dans l'évier de la cuisine. Bref, je garde le contrôle.


C'est sûr que mettre un Broughtonia negrilensis de 4-5 ans dans la poubelle, on s'en souvient.

@Repuqueur
Que considères-tu une distance sécuritaire

chantrelle a écrit:

Repiqueur a écrit: Je peux écarter chaque pot à une distance sécuritaire, les arroser un par un dans l'évier de la cuisine. Bref, je garde le contrôle.


C'est sûr que mettre un Broughtonia negrilensis de 4-5 ans dans la poubelle, on s'en souvient.

@Repuqueur
Que considères-tu une distance sécuritaire

Question très intéressante, car j'ai toujours pensé que ça pouvait voler ces tites bêtes là !

Ici, je garde les nouvelles dans ma pièce à ordinateur pour valider si présence ou non de beubites...

Pierre

grigri a écrit:Question très intéressante, car j'ai toujours pensé que ça pouvait voler ces tites bêtes là !
Pierre

C'est sûr c'est sûr, les adultes volent, sinon on se demande comment après quelques années tranquilles on se met à en avoir tout d'un coup.

En fait, ça aurait un "vol passif". Donc les oeuf ou les larves microscopiques, je ne sais trop, pourraient être emportées par leur mousse laineuse dans un courant d'air ou aidées par le jardinier qui passe avec son arrosoir, comme dans l'article du Jardinier paresseux. Même chose avec les cochenilles à carapace et leurs giclures de miellat. J'essaie d'éviter que les plantes se touchent ou qu'elles soient directement l'une en dessous de l'autre.

Ça donne une impression d'espace aéré un peu troublante pour qui cherche à ajouter des spécimens à sa collection. Il faut résister et planifier l'exclusion d'une plante avant d'en apporter une autre. D'où l'utilité de jeter un plant infesté.

Si les plantes poussent bien malgré leur rapprochement, il convient alors d'avoir planifié des traitements préventifs (ou prophylactiques, dans le langage scientifique).

Merci pour les explications

Repiqueur a écrit:
Ça donne une impression d'espace aéré un peu troublante pour qui cherche à ajouter des spécimens à sa collection.

Hé que je te comprends donc...

Pierre

Repiqueur a écrit:En fait, ça aurait un "vol passif". Donc les oeuf ou les larves microscopiques, je ne sais trop, pourraient être emportées par leur mousse laineuse dans un courant d'air ou aidées par le jardinier qui passe avec son arrosoir, comme dans l'article du Jardinier paresseux. Même chose avec les cochenilles à carapace et leurs giclures de miellat. J'essaie d'éviter que les plantes se touchent ou qu'elles soient directement l'une en dessous de l'autre.

Ça donne une impression d'espace aéré un peu troublante pour qui cherche à ajouter des spécimens à sa collection. Il faut résister et planifier l'exclusion d'une plante avant d'en apporter une autre. D'où l'utilité de jeter un plant infesté.

Si les plantes poussent bien malgré leur rapprochement, il convient alors d'avoir planifié des traitements préventifs (ou prophylactiques, dans le langage scientifique).

C'est sûr, mais... les achats ne sont pas toujours planifiés, et c'est bien dur de se limiter quand il reste un ou deux trous... entk, ici, ça ne respecte pas du tout ça, je l'avoue!